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Consulter l’articleL’abonnement mensuel Hexarq s’élève à 2,99 €, et donne accès au service et à la…
Consulter l’articleLes cryptoactifs sont des unités de valeur numériques s’échangeant sur des réseaux informatiques décentralisés, c’est-à-dire qu’ils ne dépendent pas d’une autorité centrale (comme un état, un gouvernement ou une banque). Le Bitcoin, le premier cryptoactif, a été créé en 2009 après la crise financière de 2008. Son objectif était de mettre en place un système d’échange qui soit décentralisé, transparent et accessible à tous.
La spécificité des cryptoactifs réside dans le fait qu’ils sont conservés et circulent grâce à une technologie appelée blockchain : la blockchain s’apparente à un grand registre numérique sécurisé et partagé entre des milliers d’ordinateurs à travers le monde. Chaque ordinateur – appelé « nœud » du réseau blockchain – maintient à son niveau une copie du registre qui est synchronisée à tout instant avec les autres copies. Les blockchains dites « publiques » son accessible à tous sans restriction. Il existe des implémentations privées de la technologie qui permettent de restreindre l’accès au réseau blockchain considéré à un petit nombre d’acteurs bien identifiés (on parle alors de blockchains « permissionnées »). Le Bitcoin et les autres cryptoactifs usuels circulent sur des blockchains publiques.
Chaque transaction est inscrite sur la blockchain de façon immuable, rendant toute tentative de falsification virtuellement impossible. Envoyer 0,5 Bitcoin à quelqu’un revient à inscrire publiquement dans le registre de la blockchain la transaction suivante : « A a envoyé 0,5 BTC à B ». Une fois la transaction validée et enregistrée dans le registre de la blockchain (et répliquée/propagée à l’ensemble des copies du registre), elle vient incrémenter le compte de B de 0,5 BTC et décrémenter le compte de A de 0,5 BTC. Tout ceci se fait sans qu’il soit nécessaire d’impliquer un intermédiaire.
Aujourd’hui les blockchains ne se limitent plus à de simples échanges de valeur. Elles permettent aussi de développer des applications, d’investir, d’échanger, de stocker de la valeur ou encore de participer à des projets innovants à l’échelle mondiale, tout ceci dans un mode décentralisé, communautaire, tout en bénéficiant des caractéristiques principales de la technologie blockchain que sont l’immutabilité, la sécurité, la traçabilité et la transparence.
Les cryptoactifs circulant sur des blockchains sont souvent appelés des jetons ou tokens.
La cryptoéconomie est basée sur des principes techniques, économiques et philosophiques. Le Bitcoin (BTC) – qui circule sur la blockchain Bitcoin, a été inventé en 2008 par une personne – ou groupe de personnes – sous le pseudonyme de « Satoshi Nakamoto ». Bitcoin a introduit le concept de rareté numérique en limitant la quantité de Bitcoins en circulation à seulement 21 millions d’unités, rendant son émission prévisible et contrôlée. Au-delà de l’aspect monétaire, le Bitcoin est une réponse à la confiance centralisée : un système où la preuve mathématique remplace l’autorité centrale.
Rapidement, d’autres cryptoactifs et projets ont vu le jour avec des objectifs variés : Ethereum, avec son jeton natif l’Ether (ETH), lancé en 2015 est une blockchain programmable qui permet de créer des programmes autonomes appelés « smart contracts », ouvrant la voie à de nouvelles formes d’organisations et d’interactions en ligne.
L’écosystème a depuis évolué, intégrant des projets liés à la gouvernance, à l’identité numérique, à la traçabilité ou encore à la tokenisation d’actifs. On parle désormais d’infrastructure numérique globale, en cours de développement, avec ses propres règles, usages et innovations. Cependant, cette transformation technologique soulève également des défis, comme la sécurité, l’adoption, l’évolutivité et la réglementation. Ces sujets seront abordés dans d’autres articles de notre académie.
La blockchain est une technologie sur laquelle reposent la majorité des cryptoactifs. Elle pourrait être assimilée à un grand livre comptable numérique, partagé entre des milliers d’utilisateurs à travers le monde. Chaque fois qu’une transaction a lieu, elle est ajoutée à une page appelée « bloc ». Ce bloc est relié au bloc précédent car il contient l’« empreinte numérique » de ce bloc précédent. Ensemble, ces pages forment donc une chaine de blocs, d’où le nom « blockchain ».
Voici les principales caractéristiques de ce grand livre (blockchain) qui le rendent unique :
Chaque participant du réseau (ou « noeud » du reseau) conserve une copie identique de ce registre, ce qui empêche les fraudes ou les doubles dépenses.
Les participants au réseau sont identifiés par une adresse qui leur est propre (et qui peut s’apparenter à un numéro de compte). Le lien entre cette adresse et l’identité physique de la personne qui la contrôle n’est pas connu à priori mais si l’association entre les deux peut être faite suite à une transaction particulière, alors toutes les transactions passées de la personne en question peuvent être retracées. C’est pour cette raison qu’on dit que la blockchain est « pseudonyme ».
Techniquement chaque bloc contient :
Les blocs sont validés par un mécanisme appelé consensus (détaillé dans le module suivant), qui permet à tous les participants du réseau de s’accorder sur ce qui est vrai. Cette validation est assurée par les « nœuds » du réseau (qui sont des ordinateurs) et qui sont répartis à travers le monde.
Ce système permet de garantir :
Au-delà des cryptoactifs, la blockchain a des usages dans la finance, la certification, la logistique, l’archivage, ou la traçabilité.
Dans un réseau blockchain, chaque participant primaire du réseau (un « nœud » du réseau) détient une copie du registre. Lorsqu’une nouvelle information doit être ajoutée au registre, il est nécessaire que tous les nœuds s’accordent sur sa validité. Le consensus est le mécanisme qui permet de garantir cet accord, et ce en l’absence d’une autorité centrale.
Lorsqu’une transaction est soumise pour inscription dans le registre (par exemple le transfert d’un Bitcoin d’une adresse A vers une adresse B), cet ajout n’est pas pris en compte et validé par une entité centrale « orchestratrice » du registre. Le consensus est le mécanisme algorithmique qui permet à tous les ordinateurs du réseau (les « nœuds ») de valider la même version de la vérité – l’ajout de la transaction au registre, et, donc, le transfert d’un Bitcoin de l’adresse A vers l’adresse B –, et ce même s’ils ne se « connaissent » pas et ne se font pas confiance a priori.
Deux grands types de protocoles dominent aujourd’hui les méthodes de consensus utilisées pour les blockchains :
Quel que soit le mécanisme de consensus mis en œuvre, l’intérêt pour les ordinateurs du réseau – les nœuds – à y participer est d’une part de participer de manière communautaire à la sécurisation du réseau, et, d’autre part, à en tirer un bénéfice économique. En effet, ces nœuds – appelés aussi « mineurs » – sont rétribués en l’échange de l’effort qu’ils fournissent pour valider les blocs qui sont successivement ajoutés au registre de la Blockchain. Pour un mécanisme Proof of Work, ils sont globalement rémunérés en fonction de la puissance de calcul qu’ils apportent au réseau. Pour un mécanisme de Proof of Stake, ils sont rémunérés en fonction du montant déposé (« staké ») dans le protocole afin de pouvoir valider les blocs, et sont pénalisés (« slashed ») en cas de mauvais comportement de leur nœud (tentative de valider des blocs erronés, disponibilité insuffisante, etc.).
Principe :
Caractéristique :
Utilisé par Bitcoin, Litecoin, Dogecoin…
Principe :
Pour valider un bloc, un participant doit « staker » (bloquer) une quantité de cryptoactifs. Le réseau sélectionne aléatoirement un validateur parmi ceux qui ont mis en jeu leur fonds. Plus un validateur a misé, plus il a de chances d’être choisi, mais il peut être sanctionné en cas de comportement malhonnête (processus appelé « slashing »).
Caractéristique :
Utilisé par : Ethereum, Solana (avec PoH), Avalanche, Cardano, Tezos, Polkadot…
Delegated Proof of Stake (DPos)
Proof of History (PoH)
Pourquoi ce choix est stratégique ?
Le mode de consensus détermine l’équilibre entre sécurité, vitesse, coût, et décentralisation. Un bon projet blockchain choisit son consensus en fonction de son usage :
Lorsqu’un actif numérique (par exemple du Bitcoin ou de l’Ether) est transféré sur une blockchain, il ne s’agit pas d’un virement traditionnel. Le transfert repose sur une transaction publique inscrite de manière infalsifiable dans le registre de la blockchain. Cette transaction suit plusieurs étapes techniques avant d’être validée et ajoutée au registre.
Lorsqu’une transaction est initiée, le processus se déroule généralement de la manière suivante :
Ce processus peut s’exécuter en quelques secondes ou en quelques minutes, en fonction des spécificités de la blockchain utilisée.
L’utilisateur définit :
La transaction est signée avec la clé privée (algorithme cryptographique de type ECDSA)
La transaction est envoyée à des nœuds du réseau, elle est ensuite placée dans un « mempool* », en attente de traitement. Les transactions avec les frais les plus élevés sont habituellement traitées en priorité.
Un validateur (PoS) ou mineur (PoW) sélectionne l’ensemble de transactions dans le mempool. Il les agrège dans un bloc et y ajoute :
Ce bloc est ensuite proposé au réseau
Le réseau valide le bloc selon son mode de consensus. Une fois validé, le bloc est ajouté à la chaîne.
La transaction devient alors irréversible et publiquement consultable sur un explorateur blockchain (par exemple : Etherscan pour la blockchain Ethereum).
*Mempool : Le terme « mempool » fait référence à la « memory pool » (« pool » ou « bloc » de mémoire). C’est une collection de toutes les transactions qui ont été diffusées sur le réseau mais qui n’ont pas encore été incluses dans un bloc. En d’autres termes, c’est un espace où les transactions en attente sont stockées jusqu’à ce qu’elles soient validées et confirmées par les mineurs.
**Hash : Une fonction de hachage est un algorithme cryptographique unidirectionnel polyvalent qui transforme une entrée de n’importe quelle taille en une sortie unique d’une longueur fixe et qui constitue une empreinte ou signature numérique propre à cette entrée.
Pourquoi est-ce important ? Cela garantit que personne ne peut tricher ou dépenser deux fois le même cryptoactif. Cela rend aussi les transactions traçables, transparente et permanentes. A noter : tout ce mécanisme explique par ailleurs les délais, frais et priorités dans les transferts cryptos.
Parmi les cryptoactifs les plus utilisés, Bitcoin (BTC) et Ether (ETH) occupent une place centrale, mais ils répondent à des logiques techniques et des cas d’usage distincts.
Bitcoin est un cryptoactif conçu pour transférer de la valeur de manière décentralisée. Son protocole repose sur une émission limitée à 21 millions d’unités, ce qui en fait un actif perçu comme potentiellement résistant à l’inflation. Il est principalement utilisé comme réserve de valeur ou pour réaliser des paiements simples, via un réseau sécurisé mais non programmable.
La blockchain Ethereum – avec son jeton natif, l’Ether –, à l’inverse, est une blockchain dite “programmable”. Elle permet à des développeurs de créer et d’exécuter des applications décentralisées appelées “smart contracts” (cf. ci-après). Ethereum est devenu une infrastructure de référence pour la finance décentralisée, les NFT ou les jeux blockchains.
Cas d’usage : réserve de valeur, paiements simples, Hedge contre l’inflation.
Cas d’usage : payer les frais de réseau, participer à la gouvernance, staker (immobiliser des cryptoactifs) pour sécuriser le réseau.
Les smart contracts sont des programmes informatiques autonomes déployés sur la blockchain. Ils s’exécutent automatiquement dès que certaines conditions prédéfinies sont remplies. Contrairement à un contrat classique (sur papier, ou signé en ligne), un smart contract n’a pas besoin d’intermédiaire humain pour être appliqué. Une fois mis en ligne, il suit les règles de manière automatique, transparente, et infalsifiable.
Fonctionnement :
ATTENTION ! AUX FAUX SENS
Les Gas Fees :
Sur Ethereum et sur d’autres blockchains compatibles, chaque exécution programmatique d’un smart contract entraîne un coup de calcul : c’est ce qu’on appelle le « Gas ».
Le Gas est une unité de mesure utilisée pour quantifier l’effort informatique nécessaire à une opération : calcul, stockage, bande passante, ou exécution d’un smart contract.
Le prix total payé en frais dépend de :
Un stablecoin est un actif numérique dont la valeur est indexée sur une monnaie traditionnelle comme le dollar ou l’euro.
Par exemple :
1 USDC = 1 dollar
1 EUROC = 1 euro
Leur objectif est de permettre :
Les stablecoins sont largement utilisés dans la finance décentralisée (DeFi), le trading et les paiements.
Le risque de « depeg » ou « depegging » :
Un depeg désigne la perte temporaire ou durable de l’ancrage à la monnaie de référence.
Cela peut survenir en cas de :
Types de stablecoins
| Type de stablecoin | Description | Exemples |
| Centralisés (collatéralisés en fiat) | Backés* 1 : 1 avec des dollars/euro détenus par une entreprise | USDC (Circle), USDT (Tether) |
| Décentralisés (sur-collatéralisés en crypto) | Garantis par des cryptoactifs bloqués dans des smart contracts | USDS/DAI (Sky – ex-MakerDAO) |
| Algorithmiques (sans collatéral réel) | Maintien du peg** par un mécanisme de marché automatisé. | UST (Terra – échec) |
*Backé 1:1 = Le stablecoin est adossé (i.e. collatéralisé) à une réserve équivalente en monnaie traditionnelle. Pour chaque unité de stablecoin émise, l’émetteur détient une unité de la monnaie correspondante.
**peg : « peg » ou « ancrage » en français désigne un mécanisme par lequel la valeur d’un actif, généralement une cryptomonnaie, est liée ou stabilisée par rapport à une autre devise, actif ou indice.
Un achat ou vente de cryptoactif sur une plateforme d’échange crypto, à l’instar de ce qui se passe sur une plateforme d’échange pour des actions, par exemple, met en jeu un système appelé carnet d’ordre. Le carnet d’ordre est comme un tableau qui liste en temps réel : ceux qui veulent acheter un certain actif (avec leur prix d’achat cible et la quantité qu’ils souhaitent acquérir) appelés bids (de l’anglais pour « enchère » ou « offre »), et ceux qui veulent le vendre (avec aussi un prix de vente cible et la quantité qu’ils souhaitent céder) appelés asks (de l’anglais pour « demande »). Le prix d’équilibre du marché se forme ensuite à partir de ces données où se rencontrent l’offre et la demande pour l’actif considéré.
Le système associe ensuite les ordres compatibles, on parle d’appariement des ordres, pour réaliser les transactions.
Il existe plusieurs façons de passer un ordre :
| Type d’ordre | Description | Avantages | Risques |
| Market order | Exécuté immédiatement au meilleur prix disponible. | Rapidité | Exécuté à un prix moins avantageux si le marché est peu liquide |
| Limit order | Exécuté uniquement si le prix atteint l’objectif | Contrôle du prix | Pas garanti d’être exécuté |
| Stop order | Ordre au marché qui se déclenche dès qu’un certain prix est atteint | Automatisation de vente (ex : chute du marché) | Peut être activé par une forte volatilité |
| Stop-limit order | Combinaison d’un stop order et d’un limit order. | Plus de précision | Plus complexe à maitriser |
Importance de la liquidité Sur des marchés très liquides (comme BTC/USD), les ordres sont exécutés rapidement avec peu de variations. A contrario sur des marchés peu liquides, un ordre peut faire bouger le prix, ce qu’on appelle le « slippage ».
Important : Cette rubrique ne constitue pas un conseil en investissement. Elle vise à expliquer des stratégies générales couramment évoquées dans l’écosystème crypto, à des fins pédagogiques.
De nombreuses personnes investissant dans les cryptoactifs choisissent d’adopter une approche structurée et progressive, en fonction de leur profil, de leur horizon temporel et de leur tolérance au risque.
Parmi les grandes logiques utilisées à titre individuel on retrouve,
Il peut être également pertinent d’explorer les notions suivantes, sans non plus les interpréter comme des recommandations ou des conseils en investissement :
Un wallet, ou portefeuille crypto est un outil / mécanisme qui permet de stocker, d’envoyer et de recevoir des cryptoactifs. Contrairement à un compte bancaire, un wallet ne contient pas directement les cryptos. Il contient essentiellement les clés privées d’accès à ces actifs. C’est la possession de ces clés qui donne le droit d’utiliser les fonds enregistrés sur la blockchain.
Posséder des cryptoactifs signifie donc en réalité posséder la clé privée qui permet d’y accéder, c’est-à-dire de signer des transactions permettant de « dépenser » ou transférer ces cryptoactifs vers un autre wallet.
Il existe 2 grands types de wallets :
Un wallet contient pour chaque crypto qu’il permet de gérer, un (ou plusieurs) couple(s) de clés :
| Clé publique | Clé privée |
| Sert d’adresse de réception (comme un IBAN) | Sert à signer les transactions (comme un mot de passe bancaire + signature électronique) |
| Peut être visible par tous | Ne doit jamais être communiquée |
| Commence souvent par 0x… sur Ethereum (pour dénoter une adresse de format hexadécimal) | Générée à partir d’une seed (de l’anglais pour « graine ») phrase de 24 mots. |
*La seed phrase est une suite de mots (12 ou 24) qui permet de restaurer l’accès à un portefeuille crypto : elle permet de re-générer la clé privée d’un wallet. Cette seed phrase, plus intelligible que la clé privée en elle-même (ce qui permet d’éviter des erreurs de recopie), constitue la clé maîtresse de maîtrise des fonds sur le wallet, et est à garder secrète très précieusement et hors ligne (notamment pas dans un fichier non protégé sur le disque dur d’un ordinateur).
Important : Si un utilisateur perd sa clé privée ou sa seed phrase, il perd définitivement accès à ses fonds.
A noter : en donnant sa clé publique à un tiers, compte tenu de la transparence de la blockchain, l’utilisateur accepte que ce tiers connaisse la quantité de cryptos détenue sur cette adresse.
Types de wallet
| Custody types | Wallet types | Avantages/inconvénients |
| Custodial (conservation assurée par un tiers) | Wallet / compte sur une plateforme crypto | Simple, sécurisé par un tiers, pas besoin de gérer les clés soi-même |
| Non custodial (conservation assurée en propre par le propriétaire) | Wallet logiciel sur un ordinateur ou mobile | Plus de liberté mais plus de responsabilité, risque de hack, le wallet se trouvant sur un équipement connecté à internet en permanence qui peut être compromis |
| Wallet Physique | Plus sécurisé que le wallet logiciel, idéal pour le stockage long terme, mais moins pratique au quotidien. Nécessite d’être à l’aise avec le code et l’informatique en général et avec le fonctionnement de la blockchain. Risque de perte totale en cas de perte de l’objet. |
Ne jamais partager votre seed phrase ou vos identifiants et mots de passe.
La DeFi, ou Decentralized Finance (finance décentralisée en français), désigne un ensemble d’applications construites sur des blockchains programmables qui permettent de réaliser des opérations financières sans intermédiaires. Avec la DeFi, il est possible de :
Tout cela se fait grâce à des smarts contracts, qui exécutent automatiquement les règles d’un contrat financier ou contrat « technique ».
La DeFi a pour but de répliquer des mécanismes de la finance traditionnelle (la TradFi ou Traditional Finance) pour les marchés crypto en les mettant en œuvre via des plateformes totalement décentralisées (sans opérateur central, donc) qui sont implémentées via des smart contracts fonctionnant de manière autonome sur la blockchain.
Ci-dessous les principaux types d’usages et d’applications techniques que l’on retrouve aujourd’hui dans la DeFi, avec des exemples concrets pour mieux connaitre leur rôle.
| Fonction | Description | Equivalent TradFi | Exemples |
| DEX (échange décentralisé) | Permet d’Échanger (to swap en anglais) des tokens d’un type contre des tokens d’un autre type sans plateforme centrale (exemple : échanger des USDC contre des USDT ou des ETH contre des USDC). | Bourse de change | Uniswap, Sushiswap |
| Lending / Borrowing | Prêter ou emprunter des cryptos avec en l’échange de dépôt de collatéral en garantie. | Marché de financement collatéralisé (marché des repos) | Aave, Compound |
| Yield farming / liquidity mining | Fournir des liquidités à un protocole contre une récompense. | Comptes à terme, comptes rémunérés | Curve, Yearn |
| Stablecoins décentralisés | Créer des actifs stables via des mécanismes collatéralisés | Marché de financement collatéralisé (marché des repos), Prime brokerage | DAI (Sky – ex-MakerDAO) |
| Agrégateurs / dashboards | Gérer plusieurs protocoles DeFi dans une seule interface | Agrégateurs financiers | Zapper, DeFi Saver |
Mécanisme clés
Risque spécifique à la DeFi
Staker (to l’anglais stake pour « enjeu ») consiste à bloquer une quantité de cryptoactifs pour aider à sécuriser une blockchain, en échange de récompenses. Par exemple, en bloquant 10 jetons sur un réseau comme Ethereum, l’utilisateur reçoit une rémunération (exprimée en pourcentage annuel) pour sa participation, qui aide le réseau à valider les transactions. Cela peut s’apparenter à une forme d’épargne crypto rémunérée avec une vraie utilité, car elle soutient le fonctionnement du réseau.
Le staking est possible sur les blockchains qui utilisent un consensus Proof of Stake (PoS), comme Ethereum, Solana, Cardano, Tezos…
Le rôle du staking dans le réseau
Dans un système PoS, il n’y a pas de minage (comme sur Bitcoin), le protocole sélectionne au hasard les validateurs (des nœuds) parmi ceux qui ont « staké » des tokens. Plus un utilisateur bloque de jetons dans le protocole à cet effet, plus il a de chances d’être choisi pour valider un bloc. En cas de triche ou de faute, une partie du montant staké peut être perdue (c’est ce qu’on appelle le « slashing »).
Qui peut staker ?
Types de staking
| Type | Description |
| Staking natif | Blocage des tokens sur le protocole (ex : staking Tezos ou Cardano) |
| Staking via exchange | Certaines plateformes proposent du staking simplifié |
| Liquid staking | L’utilisateur stake mais dispose d’un « reçu » (token) qui peut être utilisé ailleurs (ex : Lido avec stETH) |
Avantges et risques
| Avantages | Risques |
| Générer des rendements passifs | Blocage des fonds pendant une période, confiance dans le validateur à qui les jetons ont été délégué (en cas de staking délégué) |
| Participer activement au réseau | Slashing possible en cas d’erreur du validateur, risque de hack du protocole |
| Accessible à tous via la délégation | Volatilité des tokens stakés |
Taux de rendements moyen : entre 3 et 10% moyen par an, selon le réseau et la méthode.
Un NFT (Non Fungible Token), ou token non fongible, est un type de jeton numérique unique, inscrit sur une blockchain. Contrairement à un cryptoactif fongible comme Bitcoin ou Ether, qui est interchangeable (1 BTC = 1 BTC), un NFT représente un objet numérique distinct, unique, non interchangeable.
Un NFT peut représenter par exemple :
Concrètement, acheter un NFT revient à acquérir un enregistrement infalsifiable, prouvant que l’utilisateur est le propriétaire d’un actif numérique précis. Cependant, posséder un NFT d’une image ne signifie pas nécessairement détenir les droits d’auteur sur l’œuvre.
NFT : une structure basée sur les smart contracts
Les NFT sont créés via des smart contracts sur des blockchains compatibles, principalement Ethereum (standard ERC-721), ou Polygon, Solana, Tezos, etc.
Chaque NFT possède :
Un NFT est une preuve publique de possession d’un actif numérique. Certains NFT donnent aussi droit à des avantages concrets : accès à un évènement, jetons de gouvernance, rôle dans une plateforme, etc. On parle alors de jetons utilitaires.
Royalties automatiques
L’un des apports majeurs des NFT est la programmation automatique de royalties.
Lorsqu’un NFT est revendu, un pourcentage peut être reversé automatiquement au créateur ou à une adresse prédéfinie. Cela correspond au « droit de suite » qu’un artiste est traditionnellement en droit de toucher quand une de ses œuvres est cédée sur le marché secondaire par un professionnel. Toutefois, ce système dépend des places de marché et des standards adoptés, certaines plateformes ne les appliquent pas automatiquement.
Limites et critiques des NFT
Tokenisation de l’immobilier et des actifs réels
Outre les œuvres d’art ou les objets de collection, la blockchain permet aussi de représenter des actifs du monde réel, comme l’immobilier, sous forme de tokens. Ce processus, appelé tokenisation, consiste à fractionner un bien en parts numériques échangeables. Par exemple, un immeuble peut être représenté par 1000 tokens, chacun donnant droit à une part de sa valeur ou à un revenu locatif. Cette innovation ouvre la voie à un accès plus simple et plus liquide à l’investissement immobilier. Toutefois, ces tokens sont considérés comme des actifs financiers réglementés, ce qui implique un cadre juridique strict, notamment en matière d’enregistrement et de commercialisation.
L’encadrement des cryptoactifs s’est construit progressivement, sous l’impulsion d’organismes internationaux et européens. Face à l’essor rapide des échanges d’actifs numériques et aux risques de blanchiment d’argent, les premières initiatives ont été portées par le Groupe d’Action Financière (GAFI), organisme intergouvernemental chargé de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme (LCB-FT).
En 2019, le GAFI a publié la Recommandation n°16, connue sous le nom de Travel Rule. Celle-ci impose aux prestataires de services en cryptoactifs (VASP – Virtual Asset Service Providers) de collecter et transmettre les informations relatives à l’expéditeur et au destinataire lors de chaque transfert de cryptoactifs, à l’image des obligations déjà en vigueur dans le système bancaire traditionnel.
Cette règle a marqué le premier grand tournant vers une surveillance accrue des flux numériques, posant les bases de la future régulation européenne.
La France a été l’un des premiers pays à mettre en place un cadre national spécifique, avec la loi PACTE (2019). Celle-ci a introduit le statut de PSAN – Prestataire de Services sur Actifs Numériques, supervisé par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) et l’ACPR.
L’objectif de ce cadre était double :
• Garantir la sécurité et la transparence des acteurs opérant sur le marché français ;
• Préparer la transition vers un cadre européen harmonisé.
Le statut de PSAN impose notamment :
• Des procédures strictes de lutte contre le blanchiment (LCB-FT) ;
• Des exigences en matière de sécurité informatique et de gouvernance ;
• Une information claire et transparente envers les clients.
Depuis 2023, un régime d’enregistrement renforcé est devenu obligatoire pour tout acteur souhaitant exercer légalement en France, avec des obligations accrues en matière de conformité et de contrôle interne.
Chez Hexarq, ce cadre garantit que l’ensemble des opérations — achat, vente et conservation d’actifs numériques — sont réalisées dans un environnement sécurisé et conforme aux standards réglementaires français.
Afin d’unifier les règles au niveau européen, le règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets) a été adopté en 2023 et entre progressivement en vigueur à partir de 2024 (à partir du 31 décembre 2024 en France).
Son objectif : harmoniser le cadre juridique des cryptoactifs dans l’ensemble de l’Union européenne et offrir un niveau de protection identique à tous les investisseurs européens.
MiCA encadre :
• Les émetteurs de stablecoins,
• Les prestataires de services sur cryptoactifs (échange, conservation, conseil, etc.),
• Et impose la publication d’un whitepaper pour chaque projet, garantissant transparence et information.
La grande nouveauté de MiCA est la création d’un agrément européen unique (passeport européen), permettant à une entreprise agréée dans un état membre d’exercer dans toute l’Union.
Le cadre PSAN français constitue donc une base transitoire vers MiCA, facilitant la migration réglementaire des acteurs déjà enregistrés auprès de l’AMF.
Pour Hexarq, cette transition représente une opportunité stratégique : bénéficier d’un cadre européen clair tout en conservant la rigueur du modèle français.
À partir de 2024, l’Union européenne a étendu la Travel Rule (Règlement TFR – Transfer of Funds Regulation) à l’ensemble des prestataires de services crypto.
Désormais, toute transaction en actifs numériques doit être accompagnée des informations d’identification de l’émetteur et du bénéficiaire (nom, adresse, identifiant, etc.), y compris pour les transferts entre prestataires.
Ce dispositif, directement inspiré des normes du GAFI, vise à aligner les standards de transparence appliqués aux cryptoactifs sur ceux du système bancaire, et à renforcer la traçabilité des flux.
Il constitue une étape clé pour la crédibilité et l’intégration du secteur crypto dans la régulation financière traditionnelle.
Eligibilité à l’offre
L’offre Hexarq s’adresse à tous les clients personnes physiques des Banques Populaires et des Caisses d’Epargne n’agissant pas à titre professionnel.
Ci-dessous les conditions d’éligibilité :
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Si une opération est en cours et que vous souhaitez retirer un montant susceptible d’affecter votre solde disponible, ce montant pourrait être temporairement bloqué jusqu’à validation. Si vous voulez toutefois retirer cette somme, il vous faudra au préalable annuler l’opération en cours.
Vous pouvez réaliser un ordre d’achat, de vente ou d’échange en vous rendant sur votre compte cryptoactif, à la rubrique « Portefeuille »,
Lorsque vous cliquez sur « continuer », le récapitulatif de votre ordre vous est présenté. Si celui-ci vous convient, validez en cliquant sur « J’achète maintenant ».
Attention, à cette étape, votre ordre est valable uniquement pendant 30 secondes. Passé ce délai, il faudra l’actualiser pour finaliser votre transaction.
Comment les opérations sont-elles exécutées ?
Afin de vous proposer des conditions d’exécution optimales, vos ordres d’achat, de vente et d’échange de cryptoactifs sont exécutés auprès de plusieurs fournisseurs de liquidité.
Lorsque vous passez un ordre d’achat ou de vente, celui-ci est transmis en temps réel à la plateforme d’échange proposant les meilleures conditions d’exécution à ce moment et est traité sans délai. Toutefois, la durée d’exécution peut varier selon l’actif sélectionné en fonction de la liquidité disponible sur le marché à ce moment. Il est à noter que dans des conditions de marchés perturbées, il est possible que votre ordre ne puisse pas être exécuté. Vous êtes alors prévenu de l’échec de l’exécution et aucune somme ni aucun frais n’est prélevé. Vous avez la possibilité de soumettre à nouveau votre ordre.
Pour déposer des cryptoactifs dans votre compte Hexarq :
Plateforme d’échange
Portefeuille crypto privé
A noter :
Pour envoyer des cryptoactifs depuis son portefeuille Hexarq vers un autre portefeuille :
Plateforme d’échange
(Attention, à cette étape, votre ordre est valable uniquement pendant 30 secondes),
Portefeuille crypto privé
(Attention, à cette étape, votre ordre est valable uniquement pendant 30 secondes.),
A noter :
Gérer ses adresses externes / Enregistrement d’adresses externes
Vous pouvez enregistrer des adresses externes afin de faciliter vos dépôts et retraits de cryptos. L’enregistrement d’une adresse se fait comme suit :
Plateforme d’échange
Portefeuille privé
A noter :
Depuis votre espace Hexarq, vous avez la possibilité de consulter les informations relatives à votre abonnement en vous rendant à la rubrique « Compte Hexarq ».
Au sein du menu Gestion de compte, vous pouvez accéder aux détails suivants :
La modification de vos informations personnelles se fait depuis votre espace bancaire Banque Populaire ou Caisse d’Epargne depuis l’onglet « Plus », rubrique « Mon profil » *.
Vous avez la possibilité de modifier les éléments suivants :
* Il n’est pas possible de les modifier depuis votre compte Hexarq.
Vous pouvez accéder à la rubrique « Documents » depuis votre compte Hexarq. Cette rubrique vous donne accès aux informations ci-dessous :
Ces documents sont disponibles en téléchargement au format PDF.
Rétraction
Vous disposez d’un délai de quatorze (14) jours calendaires révolus pour exercer votre droit de rétractation et renoncer à votre abonnement. Ce délai court à compter du jour où vous acceptez les Conditions Générales d’Utilisation Hexarq lors de votre parcours de souscription. Si vous décidez de passer un ordre avant la fin de cette période de rétractation, vous acceptez implicitement de renoncer à votre droit de rétractation.
Résiliation
Conformément aux termes des Conditions Générales d’Utilisation du service Hexarq, vous pouvez résilier votre abonnement en respectant certaines conditions. Pour résilier votre abonnement Hexarq, connectez-vous sur votre application Hexarq, dirigez-vous dans le menu « Compte Hexarq » puis dans la rubrique « Gestion du compte » et cliquez sur « Résilier et clôturer le compte » dans la sous-rubrique « Informations sur le compte ». Suivez les instructions.
Le service Hexarq est pleinement intégré à l’application de Banque à Distance (web ou mobile) de votre Banque Populaire ou Caisse d’Epargne, donc hérite des moyens d’authentification forte déjà en place. Pour accéder au service Hexarq, vous devez vous connecter à votre Banque à Distance, saisir vos identifiant et mot de passe / Touch ID / Face ID.
Pour toutes les opérations sensibles, Hexarq utilise le mécanisme d’authentification forte de votre banque à distance, « Sécur’pass ».
Les moyens d’accès – les clés privées – aux cryptoactifs achetés, échangés ou déposés chez Hexarq sont conservés dans des portefeuilles numériques (wallets) sécurisés. Cette infrastructure de conservation est opérée par Hexarq et est hébergée au sein même des datacenters du Groupe BPCE, vous garantissant le respect des normes de sécurité les plus strictes afin de protéger vos actifs numériques. Vos cryptoactifs ne sont utilisés à aucune autre fin par Hexarq et ne font en particulier l’objet d’aucun placement ou sous-conservation auprès de tiers.
Voici quelques recommandations pour éviter les fraudes et le phishing :
* Pour signaler une fraude ou toute activité suspecte, nous vous invitons à contacter le support client depuis votre application Hexarq dans la rubrique « Aide » (par messagerie ou par téléphone).
Les détenteurs de cryptoactifs sont soumis à des obligations fiscales en France.
Au 1er janvier 2025*, les plus-values de cession d’actifs numériques réalisées dans le cadre de la gestion non professionnelle d’un patrimoine privé d’une personne physique domiciliée fiscalement en France sont imposées à l’impôt sur le revenu au taux forfaitaire de 12,8 % auquel s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux, ce qui porte le taux global d’imposition à 30 %.
Elles peuvent être soumises, sur option expresse et irrévocable du contribuable, au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Cette option porte uniquement sur l’ensemble des gains sur actifs numériques réalisés par le foyer fiscal (cette option ne concerne donc pas les autres revenus – dividendes, intérêts – ou plus-values de cession de valeurs mobilières soumises au prélèvement forfaitaire unique).
Par ailleurs, les personnes physiques qui réalisent des cessions dont le montant total n’excède pas 305€ au cours de l’année d’imposition bénéficient d’une exonération.
Le calcul de votre plus-value ou perte nette tient compte des plus-values et/ou pertes constatées pour l’ensemble des opérations réalisées par votre foyer fiscal y compris en dehors d’Hexarq, ainsi que de la valeur totale de l’ensemble des portefeuilles détenus par votre foyer fiscal.
* La réglementation fiscale évoluant régulièrement, nous vous invitons à consulter le site de l’administration fiscale (https://www.impots.gouv.fr) pour connaître les règles applicables. En aucun cas Hexarq ne pourrait être tenu responsable d’un défaut de déclaration de votre part.
Vous souhaitez maîtriser la navigation dans votre portefeuille ? Accédez à votre compte Hexarq, rendez-vous dans la rubrique « Aide », puis sélectionnez « Fonctionnalités » et cliquez sur « Revoir le tutoriel ». Vous y découvrirez toutes les astuces pour faciliter votre expérience.
Vous avez une difficulté, des questions auxquelles vous ne trouvez pas de réponse dans le centre d’aide, nous vous invitons à contacter le support client depuis votre application Hexarq dans le menu « Aide » (par messagerie ou par téléphone).
Depuis votre compte Hexarq, vous pouvez retrouver notre messagerie sécurisée en cliquant sur l’icône d’Aide. Dans la rubrique Service client, vous sélectionnez « Messagerie ».
Le numéro de téléphone du Service client Hexarq est disponible sur votre compte Hexarq en cliquant sur l’icône d’Aide . Dans la rubrique Service client, vous sélectionnez « Téléphone ». Si vous n’êtes pas encore client d’Hexarq, vous pouvez vous rendre sur le site https://www.hexarq.com dans la rubrique « Obtenir de l’aide » puis sélectionnez « Contacter le Service client » (https://www.hexarq.com/#serviceclients). Cette rubrique se trouve à la fin de chacune des pages du site.
Vous souhaitez consulter nos Conditions Générales d’Utilisation et notre Politique de Confidentialité ? Rendez-vous sur notre site internet Hexarq en bas de page, vous y retrouverez :
Oui, pour des raisons réglementaires, Hexarq est tenue de ne proposer ses services qu’aux résidents français, cependant, lors de vos déplacements, vous pouvez accéder à votre espace Hexarq. Veuillez noter, que l’utilisation du service peut être restreint dans certains pays.
Oui, il est possible de résilier son abonnement Hexarq à tout moment depuis votre application Hexarq. Vous pouvez contacter le service client Hexarq pour en savoir plus.
Conformément aux termes des Conditions Générales d’Utilisation du service Hexarq, vous pouvez résilier votre abonnement en respectant certaines conditions.
Pour résilier abonnement Hexarq, connectez vous sur votre application Hexarq, dirigez-vous dans le menu « Compte Hexarq » puis dans la rubrique « Gestion du compte » et cliquez sur « Résilier et clôturer le compte » dans la sous-rubrique « Informations sur le compte ». Suivez les intructions.
Un ordre immédiat s’effectue en environ 30 secondes. Au-delà, l’ordre est annulé.
Pour ouvrir un compte Hexarq, vous devez être client d’une Banque Populaire ou d’une Caisse d’Epargne proposant le service. Rendez-vous dans l’espace « Souscrire », rubrique « Epargner » de votre banque à distance (web ou mobile) et suivez le parcours de souscription. La souscription se fait 100% en ligne et votre compte sera activé en quelques minutes.
Non, Hexarq ne propose pas de services de paiement en cryptomonnaies. Hexarq a pour but d’offrir à ses clients un accès aux crypto-actifs dans une logique de diversification patrimoniale. Au delà de la volatilité des crypto-actifs qui présente des difficultés quand on souhaite les utiliser en moyens de paiement, ce sujet présente des complexités au niveau fiscal et au niveau conformité (lutte contre le blanchiment et le financnement du terrorisme, notamment). Hexarq n’offrira donc pas de services de paiement en cryptos directement. En revanche, les clients pourront transférer leurs cryptos vers des wallets (portefeuilles électroniques crypto) externes, qui pourront être utilisés comme moyen de paiement.
L’abonnement mensuel Hexarq s’élève à 2,99 €, et donne accès au service et à la tenue de compte jusqu’à la franchise de conservation de 50 000 €. Au-delà de ce montant, des frais de 0,005 % sont appliqués sur le montant (contre-valeur euros) dépassant les 50 000 €. Ces frais sont calculés mois par mois. La première année à compter du jour de la signature du contrat, les frais de conservation sont offerts au client.
Par ailleurs, des frais de transactions de 1.5 % du montant de la transaction seront déduits des cryptoactifs ou euros attendus par le client dans le cas d’un achat, d’une vente ou d’un échange. Le montant minimum de frais est de 1 €. Ces frais sont les seuls que nous facturons sur les transactions. Il n’y a pas de spread caché. L’investissement minimal est de 10 €.
Il n’existe pas de limite maximale d’investissement, en revanche, au-delà d’un équivalent de 50 000 € de cryptoactifs conservés par Hexarq, des frais de conservation seront facturés (coût mensuel de 5 centimes d’€ par tranche de 1 000 € au-delà de la franchise). L’investissement minimal est de 10 € (assorti d’un montant minimal de 1 € de frais de transaction).
Compte-tenu de la volatilité de la classe d’actifs et des risques de perte en capital partielle ou totale, il est recommandé de n’investir que des sommes 1/ dont vous n’avez pas besoin immédiatement, et 2/que vous pouvez potentiellement perdre.
Les crypto-actifs sont une classe d’actifs de risque très élevé. Les principaux risques de l’investissement dans les cryptoactifs résident dans leur forte volatilité et dans le risque de perte en capital partielle ou totale.
Lorsque vous saisissez puis validez un ordre d’achat ou de vente, celui-ci est transmis pour exécution par Hexarq à une ou plusieurs plateforme(s) d’exécution partenaire(s) (afin de vous garantir une meilleure exécution). Lorsque l’ordre est réellement exécuté sur le marché, vous recevez une confirmation. Vous êtes alors certain.e que votre ordre a été traité avec succès (l’ordre apparaît alors dans l’onglet « Transactions » de votre espace Hexarq avec le statut « Exécuté »).
Dans certains cas – en particulier si le marché « décale » défavorablement, si la liquidité présente à cet instant sur le marché est insuffisante pour exécuter votre ordre ou si des conditions empêchant sa bonne exécution sont présentes chez les plateformes partenaires – celui-ci peut expirer ou être rejeté. A ce moment vous êtes prévenu.e de l’échec de l’exécution (l’ordre sera marqué comme « Expiré », « Rejeté » ou « Annulé » dans l’onglet « Transactions »). Vous ne serez alors facturé d’aucun frais et les sommes réservées en prévision de l’exécution de l’ordre seront libérées. Vous avez alors la possibilité de ressaisir votre ordre immédiatement.
Si votre ordre n’a pu être exécuté, vous n’avez rien de particulier à faire. Vous avez cependant la possibilité de ré-essayer de le soumettre. Les raisons habituelles d’une non-exécution sont (liste non-exhaustive) : décalage défavorable du cours de marché ne permettant pas l’exécution d’un ordre immédiat dans un délai raisonnable (généralement 30 secondes), liquidité insuffisante chez les plateformes partenaires au moment de la soumission de l’ordre (ordre au marché ou ordre immédiat), rejet de l’ordre pour des raisons techniques ou parce qu’il a expiré (ordres à cours limité avec durée de validité par exemple).
Dans un tel cas, vous êtes prévenu.e de l’échec de l’exécution (l’ordre sera marqué comme « Expiré », « Rejeté » ou « Annulé » dans l’onglet « Transactions »). Vous ne serez alors facturé d’aucun frais et les sommes réservées en prévision de l’exécution de l’ordre seront libérées. Vous avez alors la possibilité de ressaisir votre ordre immédiatement.
Les cryptoactifs sont des actifs dont la liquidité est incertaine et peut être sujette à de fortes variations en fonction des tensions existant sur le marché crypto.
Ces tensions peuvent se traduire par une raréfaction de la liquidité sur certains actifs et par une certaine « dislocation » du marché rendant impossible l’exécution des ordres à cet instant.
Par conséquent, même si vous avez soumis et validé un ordre pour exécution via Hexarq, l’exécution effective de celui-ci ne peut être garantie si la liquidité nécessaire à son exécution n’est pas présente sur les plateformes d’exécution partenaires d’Hexarq. Dans ce cas, vous êtes informé.e de la non-exécution de votre ordre et vous ne supportez aucun coût. Les sommes réservées en prévision de l’exécution de l’ordre sont alors libérées. Vous avez la possibilité de ressaisir votre ordre immédiatement.
Les moyens d’accès aux crypto-actifs sont conservés en France, dans les serveurs informatiques du Groupe BPCE.
Pour signaler une fraude ou toute activité suspecte, nous vous invitons à contacter le support client depuis votre application Hexarq dans la rubrique « Aide » (par messagerie ou par téléphone). Si vous avez perdu accès à votre compte banque à distance, contactez le support client via le formulaire en ligne sur le site www.hexarq.com
Oui, afin d’offrir à ses clients une tranquillité d’esprit, Hexarq assure la conservation des clés privées de ses clients grâce à ses systèmes de « coffres-forts numériques » hébergés dans les infrastructures informatiques du Groupe BPCE.
Si votre compte est restreint, nous vous invitons à vérifier votre messagerie Hexarq ou votre boite mail pour connaître les raisons de suspension de votre compte.
Pour rétablir votre compte et/ou pour toute question, veuillez contacter le service client Hexarq.
Les plus-values de cession d’actifs numériques réalisées dans le cadre de la gestion non professionnelle d’un patrimoine privé d’une personne physique domiciliée fiscalement en France sont imposées à l’impôt sur le revenu au taux forfaitaire de 12,8 % auxquels s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux, ce qui porte le taux global d’imposition à 30 %.
Elles peuvent être soumises, sur option expresse et irrévocable du contribuable, au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Cette option porte uniquement sur l’ensemble des gains sur actifs numériques réalisés par le foyer fiscal (cette option ne concerne donc pas les autres revenus – dividendes, intérêts – ou plus-values de cession de valeurs mobilières soumises au prélèvement forfaitaire unique) .
Par ailleurs, les personnes physiques qui réalisent des cessions dont le montant total n’excède pas 305 € au cours de l’année d’imposition bénéficient d’une exonération.
Le calcul de votre plus-value ou perte nette tient compte des plus-values et/ou pertes constatées pour l’ensemble des opérations réalisées par votre foyer fiscal y compris en dehors d’Hexarq, ainsi que de la valeur totale de l’ensemble des portefeuilles détenus par votre foyer fiscal.
Le montant de la plus-value/perte nette sur crypto-actifs doit tenir compte de l’ensemble des opérations réalisées par votre foyer fiscal, y compris en dehors d’Hexarq, ainsi que de la valeur totale de l’ensemble des portefeuilles détenus par votre foyer fiscal.
Hexarq vous fournit chaque année un relevé de vos transactions effectuées sur la seule plateforme Hexarq au cours de l’année écoulée.
Ces éléments vous permettront d’effectuer le calcul de votre plus-value/perte réalisée sur le portefeuille Hexarq en vue de la détermination de votre plus-value/perte globale et d’établir votre déclaration de revenus.
La société Hexarq n’est pas une banque. Hexarq est une filiale à 100% de BPCE SA, organe central du groupe bancaire BPCE (Banques Populaires et Caisses d’Epargne), et est agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en tant que Prestataire de Services sur Actifs Numériques. Hexarq est également enregistrée auprès de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) en tant qu’Agent de Prestataire de Service de Paiements.
Pour des raisons réglementaires, Hexarq n’offre pas de conseils en matière de placement.
Contactez-nous à partir de votre compte Hexarq (menu Aide) en nous envoyant une demande via votre messagerie ou en appelant directement le numéro du service consultable dans l’onglet Téléphone (joignable du lundi au vendredi de 10h à 17h).
Envoyez-nous votre demande et nous vous recontacterons dans les meilleurs délais.